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Armande Pin

Photo du rédacteur: Agathe RiobéAgathe Riobé

Nous savons peu de choses de l'artiste et copiste Armande Pin. Elle est née au XIXe siècle à Dijon (Côte d’Or). Elle fut l’élève de Léon Cogniet. Elle exposa au Salon de 1863 à 1879, surtout des portraits et des copies, essentiellement des miniatures, c'est-à-dire des peintures fines de très petit format.


Elle peignit de nombreuses copies de tableaux pour l'Etat, notamment plusieurs copies à mi-corps des portraits de l'empereur Napoléon III et de l'impératrice Eugénie d'après Franz-Xaver Winterhalter. Elle peignit également de nombreuses copies de tableaux religieux, pour des églises de France et d'Algérie, telle La Sainte Famille d'après Raphaël ou Le Christ en croix d'après Rubens.


Elle habita, à Paris, 17 rue du Bouloi en 1869-1870 et 35 rue de Seine de 1874 à 1879.


Sa date de mort est inconnue.



Agathe Riobé


Un berger, à droite, est agenouillé en adoration devant le Christ, assis entre Marie et Joseph, assis sur un banc, occupant la moitié gauche du tableau. A gauche de Marie, derrière le banc, se tient la donatrice agenouillée, les mains jointes en adoration. A l'arrière-plan, la partie gauche derrière la Sainte Famille est occupée par une architecture tandis que la partie droite est occupée par un paysage.
Fig. 1 : Armande Pin, L'Adoration des bergers avec une donatrice, d’après Jacopo Nigretti, dit Palma Vecchio, 1868, huile sur toile, Église paroissiale Saint-Vincent, Compeyre (Aveyron). (© Inventaire général Région Occitanie)

Sources et bibliographie


BENEZIT, Emmanuel, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Paris, 1999, tome 11, p.942.



Base Arcade des Archives Nationales, recherche "Pin".

1 Comment


Michel Guinard
Michel Guinard
Feb 09, 2024

Bonsoir,

descendant d'Armande PIN, je me permets de vous donner quelques information.*

Le nom de jeune fille de mon aïeule était Tappe, elle est décédé chez sa fille dans le premier arrondissement le 4 février 1896

je vous salue cordialement Michel GUINARD


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